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Prix Carbet 2009

Le 7 décembre 2009, les Foudres HSE recoivent les membres du jury du Prix Carbet de la Caraïbe, présidé par Édouard Glissant. Cette année, le prix fut décerné à Alain Plénel,  vice recteur à la Martinique de 1955 à 1960.

Edwy Plénel, présent pour cet hommage, à fait revivre à l’assistance le grand courage politique de son père face à la répression des émeutes de 1959.

 

 

 

 

 

 

 


ARC magazine

ARC issue 01 // january 2011

A l’initiative de la DAC Martinique, Holly Binoe et Nadia Huggins co-fondatrices du magazine ARC sont venues nous rendre visite.
Cette revue consacrée à la valorisation de la création artistique dans la  caraïbe et les Amériques noires mérite d’être signalé par la nouveauté de son propos ainsi que par la qualité de sa mise en page et de son impression.
De leur passage sur notre île, Holly et Nadia nous font partager leurs premières réactions que nous vous invitons à découvrir ici.

A suivre.

 


La joyeuse dynamique NoJazz

Le 3 décembre 2011, NoJazz donnait une représentation exceptionnelle aux Foudres HSE. Mixage d’une qualité irréprochable et musiciens au meilleur d’eux-mêmes, c’était une performance énergique et de haut niveau.

NoJazz est un groupe français dont les influences sont à la fois puisées dans le jazz, la pop, l’électro et la musique cubaine.

Né de la rencontre de musiciens issus d’horizons divers, le groupe joue une musique festive, “improvisée, métissée et colorée”, qui s’est nourrie de nombreuses et prestigieuses collaborations : Stevie Wonder, Claude Nougaro, Maurice White, Lokua Kanza, Roy Hargrove…

 


Elmire des sept bonheurs

En 1998, l’Habitation Saint-Étienne co-éditait avec Gallimard un ouvrage qui réunissait un conte de Patrick Chamoiseau et des photographies de Jean-Luc de Laguarigue.

Elmire des sept bonheurs est “une galerie de savoureux portraits de travailleurs qui forment une cohorte de petits métiers”. Leur “consommation du rhum de Saint-Étienne provoquerait la vision d’une demoiselle à la beauté changeante” : Elmire, la belle des mornes.

Ainsi, “tous boivent pour la rencontrer ou mieux, la retrouver (…) Mais la demoiselle se laisse souvent désirer et les élus, s’ils sont rares, sont partout dans le monde où voyagent les bouteilles de Saint-Étienne”.